Je te lècherai bien la chate
Doucement et sans hâte,
Goûter au nectar amer
De tes dentelles de chair,
Doucement et sans hâte,
Goûter au nectar amer
De tes dentelles de chair,
Sentir la peau de tes cuisses
Et si blanche et si lisse
D’abord me résister un peu,
Et puis s’écarter au mieux.
Et si blanche et si lisse
D’abord me résister un peu,
Et puis s’écarter au mieux.
De ma langue impertinente
M’introduire dedans ta fente,
Et sucer comme un bonbon
De ta fleur, le bourgeon.
M’introduire dedans ta fente,
Et sucer comme un bonbon
De ta fleur, le bourgeon.
Sentir tes reins qui se creusent
Entre mes mains amoureuses
Et puis leur tressautement
Quand ton plaisir se fait puissant.
Entre mes mains amoureuses
Et puis leur tressautement
Quand ton plaisir se fait puissant.
Eviter quelques ruades
Quand l’amour est cavalcade
Quand la plus petite des touches
Se propage en secousses,
Quand l’amour est cavalcade
Quand la plus petite des touches
Se propage en secousses,
Puis te Voir te recroqueviller
Quand tu seras épuisée,
Encore parcourue de frissons
Bien que fermée aux sensations,
Quand tu seras épuisée,
Encore parcourue de frissons
Bien que fermée aux sensations,
Tout en savourant la présence
La preuve de ton orgasme
Dans le suc de tes spasmes.
En hommage à Causette - journal plus fémini du cerveau que des capitons - pour son hors série sur le Clitoris.