Je vous veux pour moi tout seul
Vos sourires et vos clins d’œil,
Votre humour, vos remarques taquines
Votre beauté que je lutine.
Vos sourires et vos clins d’œil,
Votre humour, vos remarques taquines
Votre beauté que je lutine.
Car mon plaisir est dans mon regard
Qu’il soit dessus ou dessous le fard
Qu’il se perde dans vos boucles rousses
Ou sur le rose de votre bouche.
Qu’il soit dessus ou dessous le fard
Qu’il se perde dans vos boucles rousses
Ou sur le rose de votre bouche.
Car mes yeux sont bien plus câlins
Que ne seront jamais mes mains
Ils glissent le long de vos joues
S’attardent parfois sur votre cou,
Ils sont infiniment patients
Toujours tendres, jamais pressants.
Et pour renforcer votre lumière
Ils ont de précieux auxiliaires :
Que ne seront jamais mes mains
Ils glissent le long de vos joues
S’attardent parfois sur votre cou,
Ils sont infiniment patients
Toujours tendres, jamais pressants.
Et pour renforcer votre lumière
Ils ont de précieux auxiliaires :
Mes mots comme des foulards de soie
Dansent, s’envolent de vous à toi,
Ces mots m’ont tant de saveurs
Quand ils vous donnent quelques rougeurs.
Dansent, s’envolent de vous à toi,
Ces mots m’ont tant de saveurs
Quand ils vous donnent quelques rougeurs.
J’aime vous aimer ainsi à distance
Dans cette soi-disant innocence,
Ne savourer de vous que ce plaisir
De demeurer dans le désir.
Dans cette soi-disant innocence,
Ne savourer de vous que ce plaisir
De demeurer dans le désir.
Voilà, c’est pourquoi je m’entête
De vous vouloir en tête à tête,
Superbe, souriante et mutine,
Irrémédiablement coquine.
De vous vouloir en tête à tête,
Superbe, souriante et mutine,
Irrémédiablement coquine.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire