Etrange habitude que d'écrire des poèmes. Pour qui ? Pourquoi ? Comment les offrir ? Doit-on les laisser morts, cachés, illisibles ou les laisser vivre un rien, au hasard d'un regard. Je sème l'ivraie.
mercredi 9 avril 2014
Son parfum restait là...
Dans la pénombre fraîche des stores et du matin
Une odeur de savon juste teintée de jasmin
Un parfum de jeunesse et de simplicité
Qui s'accordait si bien à sa simple beauté.
Un parfum frais et tendre comme une douce aurore
Émouvant comme la rose venant juste d'éclore
Et qui tendait mon cœur de cette nostalgie
Des premières amours, des premières poésies.
Peu s'en fallut qu'inconscient, je confonde
Dans cet instant subtil à la saveur profonde
Le sentiment et son cher souvenir...
Mais je me réveillais par un simple sourire.
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