J’écris bien plus que je ne crois
Et mes brouillons s’accumulent
Sur mon informatique opuscule
Où je vomis ce qui me broie.
Et mes brouillons s’accumulent
Sur mon informatique opuscule
Où je vomis ce qui me broie.
Horreur ou beauté, peu importe
Ce qui me hante, ce qui me porte
Tout ce déverse en cet endroit
Je me crois mort mais je vis parfois.
Ce qui me hante, ce qui me porte
Tout ce déverse en cet endroit
Je me crois mort mais je vis parfois.
Dieu, tu te moques de ta créature
Incapable d’appréhender
Ne serait-ce que sa pauvre nature,
Ou sa capacité à exister.
Incapable d’appréhender
Ne serait-ce que sa pauvre nature,
Ou sa capacité à exister.
Quel sens ont les mots que j’écris
Qui le sait ? Je ne sais pas
Et de mon ignorance, je ris
Afin de ne pleurer pas.
Qui le sait ? Je ne sais pas
Et de mon ignorance, je ris
Afin de ne pleurer pas.
Dans ce monde, dans la réalité
Quatre-vingt-dix-neuf pourcents d’inconscience
Et un pourcent de stupidité.
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