Elle est timide devant le soleil
Sa peau prend des tons vermeils
Puis se brunit en touches délicates
La maquillant comme une chatte,
Prête à bondir dessus sa proie
A s’amuser de son effroi,
Elle devient aussi coquillage,
Porcelaine au fin camouflage
Entre le rose et le marron,
Le sable fait son apparition,
Et ses yeux du plus bel azur
Prennent la teinte de l’onde pure
Sur sa peau comme une plage
Je me perds dans son paysage
Et mon amour comme la marée
La parcourt sans s’en lasser.
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