Quelle tristesse et quel bonheur
De vous savoir verser des pleurs
Au petit fait de décevoir
Mon grand plaisir de vous voir.
Vous m'avouez, ainsi, c'est troublant,
Que ces bien trop brefs instants
Que nous passons à discuter
Sont devenus nécessité.
Votre sourire et votre larme,
Ne font qu'accentuer le charme
Car votre peine et votre doux aveux
Comme les nuées, embellissent les cieux.
Petit marivaudage de rin du tout. En fait, j'adore Marivaux, pas vous ?
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