En revenant sur ce chemin
Le cœur mi figue, mi raisin
Les femmes ont des beautés
Faisant échos au passé.
Le cœur mi figue, mi raisin
Les femmes ont des beautés
Faisant échos au passé.
Celle-ci ressemble à la vierge
Devant qui brulèrent tant de cierges
Témoins de quoi ? d’une admiration ?
Ou du manque de consolation ?
Devant qui brulèrent tant de cierges
Témoins de quoi ? d’une admiration ?
Ou du manque de consolation ?
Les traits de l’une sont si parfaits,
Je l’ai déjà vu dessinée.
Celle-là ressemble à une actrice
Elle en en paraît presque factice.
Je l’ai déjà vu dessinée.
Celle-là ressemble à une actrice
Elle en en paraît presque factice.
Images, déesses inaccessibles
D’une beauté immarcescible
Je vous regarde sans vous voir,
Et rien ne retient mon regard.
D’une beauté immarcescible
Je vous regarde sans vous voir,
Et rien ne retient mon regard.
Mais ces traces soulignent votre absence
Car vous n’avez nulle semblance
Vous, je cherche, mais ne vous trouve nulle part
Que dans ma si chère mémoire.
Car vous n’avez nulle semblance
Vous, je cherche, mais ne vous trouve nulle part
Que dans ma si chère mémoire.
Et vous ne m’apparaissez
Que parce que vous me manquez,
Vide est désormais ce paysage
De votre amitié, de vos visages.
Que parce que vous me manquez,
Vide est désormais ce paysage
De votre amitié, de vos visages.
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