Passe-Passe
Ma chère, ma belle, mon amie
Que j’aime ta tendre ironie
Quand je laisse se révéler,
Ces défauts que l’on tient cachés
Quand, naïf, je révèle l’estime
Où je place la gente féminine
Je vois très vite s’allumer
Tes yeux moqueurs et amusés
Et j’ai beau savoir que des femmes
Se montrent parfois infâmes
J’aime d’autant plus ma naïveté
Qu’elle rehausse ta beauté
Ainsi est-il de ta magie,
De ton humour, de ton esprit
Changer mon défaut éhonté
En ta plus belle qualité.
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