Sa robe verte se balance
Suivant de ses pas, la danse,
Comme d’un saule le feuillage
Dont je rêve de l’ombrage,
Une heure pour y rêver
Et admirer le reflet
De l’or du ciel, de l’azur
Sur sa belle chevelure.
Et admirer le reflet
De l’or du ciel, de l’azur
Sur sa belle chevelure.
Je la regarde passer
Au loin, tout émerveillé
M’attendant qu’elle disparaisse
Sans me voir et sans un geste
Au loin, tout émerveillé
M’attendant qu’elle disparaisse
Sans me voir et sans un geste
Mais la belle fait un détour
Juste pour me dire bonjour.
Et réchauffer de sa peau câline
Mes joues glacées car c’est matines.
Juste pour me dire bonjour.
Et réchauffer de sa peau câline
Mes joues glacées car c’est matines.
Elle part, laisse un parfum et une image
D’une fleur, de son feuillage,
Et depuis mon esprit joue
A mettre mes mots bout à bout,
D’une fleur, de son feuillage,
Et depuis mon esprit joue
A mettre mes mots bout à bout,
Pour retranscrire la grâce
Cette douceur qui est sa trace,
Que je savoure au soleil
Comme un subtil bonbon de miel
Ma muse Agnès qui m'a inspiré ce poème m'a dit en avoir eu les larmes aux yeux et l'a trouvé fort beau. C'est un point de vue qui m'est agréable. Jusqu'à présent depuis 7 ans que je lui inflige des vers de temps à autre, je n'avais eu droit qu'à un froid "c'est bien trouvé" et un "C'est trop long". Le monde va changer, la poésie gagne du terrain.
Cette douceur qui est sa trace,
Que je savoure au soleil
Comme un subtil bonbon de miel
Ma muse Agnès qui m'a inspiré ce poème m'a dit en avoir eu les larmes aux yeux et l'a trouvé fort beau. C'est un point de vue qui m'est agréable. Jusqu'à présent depuis 7 ans que je lui inflige des vers de temps à autre, je n'avais eu droit qu'à un froid "c'est bien trouvé" et un "C'est trop long". Le monde va changer, la poésie gagne du terrain.
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