dimanche 21 avril 2013

Crise de la dette

Je suis et pour toujours ton éternel débiteur,
Pour un sourire offert et malgré sa laideur,
À un homme fade et morne, qui ne t'était rien
Qu'illuminèrent tes yeux, la douceur de ta main.

J'écris depuis sans connaître de fin,
Par devoir, sans raison et bien sûr, sans dessein
Mes vers n'apureront rien, car tu ne me lis pas
Ils s'égarent ailleurs,  qu'ils soient compris ou pas,

Qu'importe, ou tant mieux, ce fardeau de la dette
L'absurde est un sens à ma vie, une fête, 
Que mes vers imparfaits acquittant leurs écots
Soient de ta beauté et à jamais l'écho.

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