Sur le parquet, la lumière glisse
Et trouble ma cécité
En me donnant quelques indices
Dans cette troublante obscurité.
Et trouble ma cécité
En me donnant quelques indices
Dans cette troublante obscurité.
Le hasard des reflets étranges
Sur les ailes de ces anges
Que j’ai à peine admirées
Et sur les lattes du parquet,
Sur les ailes de ces anges
Que j’ai à peine admirées
Et sur les lattes du parquet,
M’amènent à faire un choix
Dans cette chambre noire de poix
A droite, à gauche, je m’avance
Combattant mon indifférence.
Dans cette chambre noire de poix
A droite, à gauche, je m’avance
Combattant mon indifférence.
C’est à la lumière de l’amour
Plus perçante que l’astre du jour
Quand tu ouvris la porte en grand
Que j’ai eu cet éblouissement.
Quand tu ouvris la porte en grand
Que j’ai eu cet éblouissement.
Aveugle de noir, de lumière
Libre d’être ton esclave, ma chère,
A peine t’ai-je entr’aperçue
Tu avais déjà disparu.
Libre d’être ton esclave, ma chère,
A peine t’ai-je entr’aperçue
Tu avais déjà disparu.
Ai-je le choix de te pleurer
Quand ton absence vient me torturer
Je me révolte et je choisis
La joie et la poésie.
Quand ton absence vient me torturer
Je me révolte et je choisis
La joie et la poésie.
Ma dame, entre le chagrin et l’espoir,
Je me sens pion mais liberté
D’un déterminisme indéterminé.
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